Jean-Marie Chaland est un vigneron discret qui cultive ses 9,5 hectares de vignes en plein cœur du Mâconnais, sur les communes de Viré, Monbellet et Burgy. Certifié en agriculture biologique depuis 2003, son vignoble se compose de 23 parcelles avec une moyenne d’âge de vignes de plus de 50 ans.
Il fait partie des artisans vignerons du sud de la Bourgogne parmi lesquels on compte Nicolas Maillet, Nicolas Delfaud, Philippe Valette ou encore Julien Guillot. Une valeur sûre pour les amateurs de vins de Bourgogne racés et sans maquillage qui apprécient tout particulièrement la minéralité, la pureté et la salinité des vins.
Le vignoble de Jean-Marie Chaland se compose principalement de côteaux exposés Sud-Est bénéficiant du microclimat de la Vallée de la Saône. Les sols marno-calcaire sont issus en majorité de la dégradation de roches calcaires à oolithes du Bathonien.
Les vignes sont plantées pour la plus grande partie à mi-coteaux sur une variété de terroirs du Sud du village de Viré jusqu’au hameau « Thurissey » à Montbellet.
L’âge moyen du vignoble est de 50 ans. La sélection Massale est pratiquée pour la diversité génétique des plantations.
Le domaine produit en moyenne 50000 bouteilles par an dont 6 cuvées parcellaires de Viré-Clessé, un Mâcon-Villages, un Bourgogne rouge, un Mâcon-Burgy rouge et une méthode champenoise en blanc et rosé.
Le vignoble a toujours été entretenu et labouré sans utilisation d’herbicides de synthèse pour favoriser le respect des sols et l’expression du terroir. Culture biologique certifiée en 2003. Vendanges exclusivement manuelles, vinifications en levures indigènes, élevages sans excès de 10 à 24 mois selon les cuvées. Tout est fait pour que les vins offrent une expression racée, de la fraîcheur et de l’élégance : l’empreinte de l’endroit.
Victor, le grand-père de Jean-Marie Chaland commence à cultiver la vigne dans les années 30. Son père Jean-Noël prend la suite en 1967 avec sa première cuvée vinifiée au Domaine. C’est en l’an 2000 que Jean-Marie crée le Domaine Sainte Barbe en compagnie d’Ewellina, sur une surface de 4 hectares.